Till The Next... - « The Genius » & « The Good Witch »
FREE-MOBILE-PRECIOUS-THING
MIND-SONG-VICTIME-OF-LOVE-DUO-GENIUS+WITCH
« The Genius » & « The Good Witch »
« Le Génie » & « La Gentille Sorcière »
1989 - Till The Next… Somewhere (de Dee Dee Bridgewater en duo avec Ray Charles) - « The Genius » & « The Good Witch »
La boucle - La spirale
Déjà 3 écoutes “manuelles”, lancées successivement et manuellement
Puis une autre
Puis encore une autre
Jusqu’à la suivante
Encore
Puisque maintenant c’est en mode “automatique”
Le volume un peu plus fort, pas trop, il faut pouvoir le monter, encore et encore, plus tard…
Je découvre en parallèle des “petites choses précieuses”
Comme le titre, incorrecte, sur le vinyle il est plus mystérieux puisque “Precious Thing” est en fait le nom de l’album et que ce 5ème titre de la version Digitale issus du CD, était en fait le dernier de la seconde face, comme c’était souvent le cas pour les vinyles de trouver le titre phare en fin.
“Till The Next… Somewhere” est donc le titre de ce 8ème et dernier titre, 4ème de la seconde face pour le vinyle d’origine.
Je découvre d’autres petites pépites cachées dans ces histoires, mais uniquement à mes yeux, ou plutôt à mon regard, car présentes depuis toujours, disponibles à qui veut s’y intéresser.
J’ai entamé mon écoute de Georges Brassens hier matin.
L’intégrale va tourner en répétition pendant un certain temps.
Je sais maintenant à quoi servent ces messages qu’on se laissent, que je me suis laissés depuis mon passé sombre.
Mes Jokers m’ont permis de toujours me relever de tout, toujours !
J’ai gardé aussi d’autres Jokers que sont Brassens, Brel, peut-être même est-ce pourquoi je ne les ai jamais écouté ou, pire, comme d’autres, jamais supportés, comme Barbara !?
Les compagnons des solitudes savent comment nous apporter le mot juste des poètes.
Toujours plus fort au cas où l’insurmontable imprévisible survienne, encore, au détour du parcours !
J’ai toujours considéré que la musique était et devait rester réservée aux “désespérés”, comme l’ultime moyen de se sortir du plus triste et de la plus profonde souffrance que seules les âmes perdues peuvent supporter de rencontrer et y puiser la force, et le goût de la vie, à nouveau.
Comment expliquer sinon que ces “étoiles” le deviennent et répondent à tous au travers d’un mode si plein de sensibilités uniques et différentes ?
Comment pourraient-ils parvenir à répondre à notre besoin avide de défendre cette vie, à nous leur public !
STOP - Sans-issus ?
Ce matin ce sera un autre titre de mon florilège actuel, des ma réserve de Jokers…
Préparée après une initiative fortuite et en réflexe de réponse à un “Petit Break” !
Pourquoi se relever ?!
Ce matin, au réveil, après une merveilleuse nuit, à bah non, ce ne furent tout compte fait que 4 petites heures troublées par des rêves trop positifs…
Mais, oui, comment est-je pût aussi longtemps me laisser épuiser et croire trop fort encore !?
Ce matin je me suis levé, décidé, je sais… et pourquoi j’ai eu tord d’insister car l’espoir n’est pas une force qui se force à s’admettre, ni par l’exemple, ni par la démonstration…
Elle parviendrait tout juste à détourner de l’objectif attendu et se perdrait à n’espérer qu’être !
Stupide, j’ai été, de répondre à cette demande, non pas que la demande était injuste, bien au contraire, mais simplement de croire que je pourrais y répondre et que ce serait un devoir.
Voilà revenu l’enfant qui veut sauver les jolies princesses, quand elles ne veulent ni l’être, ni croire aux princes et princesses.
Un jours il m’a été avoué que le plus horrible constat de réaliser un fantasme serait de ne plus l’avoir en possible.
C’était tellement vrai, comme tant d’autres sagesses partagées, tellement de mots justes.
Je vais pouvoir arrêter, quand je le désire, cette boucle et cette chanson.
Je vais donc me tenter à forcer mon choix.
J’ai décidé de comprendre et de ne plus agir, ne plus tenter à conjurer ce sort que je prétends avoir décelé ou croire des opposés ne provoquent que de ne plus savoir ni oser rien faire !
J’en ai été moi même la victime il y a bien longtemps.
Le téléphone et surtout le numéro associé à mon identité de cette époque, cette chose précieuse que même “le précieux”, “le trésor” de Gollum ne peut espérer devenir !
Une petite Vidéo de Gollum (ou Smirgold) et son…
Ce téléphone m’avait été coupé, mon numéro changé, j’ai compris hier au matin ce que cela avait signifié et surtout ce que cela avait permis et rendu possible, accessible, atteignable à nouveau…
Et voilà, mon constat, que de nos expériences nous ne tirons jamais que la surface, quand ce sont de toutes petites actions autour de nous, oubliées, des proches, de la famille, qui peuvent essayer et qui auront pour moi contribuées et permises de retrouver le monde des moldus[*] !
Pourquoi se tenter !?
Pourquoi je vous raconte tout ça ?
J’ai déjà parlé de dépression et de certaines raisons qu’y peuvent les provoquer.
Pourquoi faire une démonstration de son déroulement et l’expérimenter ?
Pourquoi démontrer au final qu’il peut être si facile de stopper cet état et de se relever ?
Ne serait-ce pas encore une bien mauvaise démonstration ???
Je n’avais qu’un regret hier soir, celui d’avoir constaté un oubli !
Proposer un sevrage, l’entamer, et chercher ailleurs les coupables de son possible échec !
Simplement parce que j’ai décidé de me sortir des acteurs…
Je devais me protégé et je me retrouve libéré, je dois donc en être heureux car aucune peine ne doit être apportée à ceux qui souffre, aucune dont il ne puisse se débarrasser eux même.
Je me suis donc tenté ce matin à mes choix, à c que mes rêves m’ont montrés…
D’un mariage celtique ou j’étais retourné avant-hier avec les magiciens gris de la nuit.
J’étais passé dans une réalité alternative où s’acceptaient mes choix en devenant des succès.
Mais le monde d’ici n’est pas si compliqué ni si puissant.
Il est bien plus simple et fragile…
À peine la première écoute de ce matin lancée, démarrée, allumée ?
Et c’est des solutions alternatives que je cherchais…
Déjà !!!
Alors, oui, j’accepte et j’admets, je lâche, je me garder ces paroles qui hurlent pour ne ni les écouter ni les entendre, et surtout plus les chanter et en vivre un ressenti tout à fait personnel, éphémère, insupportable !
Demain c’est le week-end.
Après ce sera Dimanche !
Le code que je devais dévoiler ici, la solution que je devait proposer, ne le sera pas !
Le code que je voulais retenir…
Je ne regrette, ni ne regretterai rien…
Je tenterai simplement, encore et encore, de faire aux mieux pour regretter le moins possible ce que je ferai, encore, maintenant, ensuite et après…
Album - Dee Dee Bridgewater - 1989 - Victim of Love (Reissue)
Morceau - #05 - Precious Thing (Till The Next… Somewhere)
Morceau - Détails
Artiste Dee Dee Bridgewater, Ray Charles
Année 1989
Genre Jazz
05 • Precious Thing (Till The Next… Somewhere)
Dee Dee Bridgewater, Ray Charles • Victim of Love (Reissue) (1989)
Morceau - Paroles
[Dee Dee]
Take your ring
Isn’t strange you’re always leaving things
Never mind I know this room is not a home
I hope I made you feel less alone
Think of me while you roam
[Ray]
But please no strings
But it’s more, more than just another fling
There are things I believe should never be told, girl no
But you’re the only one I wanna hold
Cause it can get awfully cold
[Dee Dee]
Precious thing
You know our love is such a wonderful thing
Hey Ray baby
You make me dizzy whispering in my ear
Soon my love. Till the next… somewhere
[Ray]
Dee Dee
[Dee Dee]
Yes Ray
[Ray Charles]
Keep the ring
[Dee Dee]
Oh no baby
[Ray]
Ain’t it funny, right? I’m always losing things
But you’re like me, you’ve know the road
Would be your home, girl
I hope I made you feel less alone
Think of me as your own
[Dee Dee]
Whoa, Precious Thing
You know our love is such a wonderful thing
[Ray]
Girl, You make me dizzy whispering in my ear
Soon my love, till the next, somewhere
…
[Dee Dee]
Say no strings
Oh freedom is still as much yours as my thing
I know promises can be hard to keep
The price I paid to learn, oh baby, was just too steep
But still my love runs deep
[Both]
Precious thing
You know our love is such a wonderful thing
You make me dizzy whispering in my ear
Soon my love, till the next… somewhere…
Détails
Artiste Dee Dee Bridgewater, Ray Charles
Année 1989
Genre Jazz
Source Local
Technique 836Kbps VBR 44.1kHz FLC
Artiste - Biographie(s)
Ray Charles
Ray Charles (Ray Charles Robinson) surnommé « The Genius » (le génie) (23 septembre 1930 - 10 juin 2004) est un chanteur et pianiste américain dont la carrière fut riche en différents styles musicaux : le jazz, le gospel, le blues, la country, le rhythm and blues (origines du R’n’B contemporain) et le style qu’il popularisa : la soul.
Ray Charles Robinson est né dans une famille très pauvre d’Albany en Géorgie et a été élevé par sa mère Aretha Williams à Greenville en Floride. Il fait une petite approche du piano avec Wylie Pitman, un homme qui jouait dans le bar de son village. Son enfance est marquée par des traumatismes physiques et psychologiques : après avoir assisté impuissant à la noyade de son jeune frère de trois ans, il contracte un glaucome à l’âge de quatre ans. À sept ans, sa cécité est complète et il est placé dans un établissement spécialisé.
C’est dans cette école que, neuf années durant, il apprend la composition, ainsi que la pratique de plusieurs instruments, dont le piano (instrument qu’il ne put étudier immédiatement car, au moment de sa venue, les effectifs de l’école étaient complets), la clarinette ou le saxophone alto. Bien que l’enseignement musical qu’il y reçoit soit essentiellement classique, ses préférences vont dès cette époque aux musiques de son enfance : le gospel, le blues , le jazz et le country.
Âgé de quinze ans, il perd sa mère et décide de quitter l’institution. Il se fait héberger par une amie de sa mère à Jacksonville, où il commence à travailler comme musicien. Il tente ensuite sa chance à Chicago, à Orlando, puis à Tampa, où il gagne à grand-peine de quoi survivre en jouant du piano dans des orchestres de danse.
Ce n’est qu’en 1947, à seulement 16 ans, après avoir traversé tout le pays pour s’installer à Seattle, qu’il commence à se produire dans les clubs comme chanteur, accompagné de sa propre formation. C’est là qu’il rencontre Quincy Jones, avec qui il se lie d’amitié.
Il signe un contrat chez Swing Time Records après avoir rencontré Jack Lauderdale et après plusieurs disques avec des succès modestes, “Rocking Chair Blues” ou “The Ego Song”, il enregistre “Baby, Let Me Hold Your Hand”, qui se place dans les premières places des R&B charts en 1951. Il commence alors à forger sa personnalité musicale, s’éloignant peu à peu de ses premières influences, Nat King Cole et Charles Brown. Il fait une approche de son propre style avec “Hey Now” ou “Kiss Me Baby”.
Aidé par Atlantic Records, sa maison de disques, qui lui laisse toute liberté de création, Ray Charles va connaître une décennie de succès. Le premier succès qu’il enregistre est “The Sun Gonna Shine Again”, produit par Ahmet Ertegün (qui par ailleurs a écrit une chanson connue de Ray Charles “Mess Around”), son producteur et fondateur d’Atlantic Records. Il compose son premier grand succès “I Got a Woman”. Viennent ensuite “Hallelujah I Love Her So”, “Drown in My Own Tears”, “This Little Girl of Mine”, “The Right Time” très bien placés dans les R&B charts. Il faut attendre la sortie de “What’d I Say” en 1959, premier hit dans les pop charts et l’album “Genius Of Ray Charles”, pour que sa notoriété s’élargisse dans de notables proportions.
Fermement décidé à continuer sa percée en direction du public pop, le chanteur quitte Atlantic pour ABC Paramount en 1959, plus à même de lui offrir une passerelle vers le public blanc. Ce « crossover » fait qu’il sera le premier artiste noir de l’histoire à être écouté par un public blanc (et de même pour les succès qui vont avec) : “Georgia on My Mind” (1960), “Hit the Road Jack” (1960), “One Mint Julep”, “Moanin”, “I’m Gonna Move to The Ouskirts Of Town” (1961), “Unchain my Heart”, “Bye, bye Love”, “I Can’t Stop Loving You”, “You are my sunshine” (1962), “Born To Be Blue”, “Busted”, “In The Evening”, “Over The Rainbow”, “That Lucky Old Sun” (1963), “Smack Dab In The Middle” (1964), “I Don’t Need No Doctor”, “Let’s Go Get Stoned”, “I Chose To Sing The Blues” (1966), “Here We Go Again”, “In The Heat Of The Night” (1967),” Am I Blue”, “The Sun Died” (1968), “Don’t Change Me” (1970), “If you Were Mine” (1971), “America The Beautiful” (1972). Ray Charles devra attendre 1962 et la sortie de son chef d’œuvre, “Modern Sounds in Country and Western Music”, pour réaliser son rêve. Avec “I Can’t Stop Loving You” cotoyant “Hey, Good Lookin”, c’est l’éclectisme de l’artiste qui triomphe.
Les affaires marchent alors tellement bien pour Ray Charles que, en 1963, associé à son manager Joe Adams, il monte sa propre société de production « Ray Charles Enterprises ». Il joue aussi dans le film Ballad In Blue de 1964. C’est aussi malheureusement une période où il doit faire face à de sérieux problèmes de dépendance à l’héroïne, en 1965. Malgré un petit passage à vide, Ray Charles revient en force en 1966, avec “Let’s Go Get Stoned”. Après quelques chansons aux résultats encore honorables (dont ses reprises de “Yesterday” et “Eleanor Rigby” des Beatles), il disparaît peu à peu des charts.
A la fin des années 1970 et au cours des années 1980, il fait quelques apparitions sporadiques, à l’occasion d’évènements tels que le film The Blues Brothers ou la chanson “We Are the World” au bénéfice de USA for Africa. Malgré de nombreux changements de maisons de disque, il n’obtient plus que de modestes succès. Seule exception, son duo avec Chaka Khan en 1989, “I’ll Be Good to You”, qui le réconcilie brièvement avec les pop charts.
Ray Charles continue inlassablement de tourner dans le monde entier à guichet fermé auprès de son public d’admirateurs jusqu’à un âge avancé malgré une désaffection du grand public.
Il est récompensé de douze Grammy Awards, parmi les très nombreuses récompenses et distinctions qu’il reçoit au cours de sa carrière. Il est un des premiers à entrer au Rock’n’Roll Hall of Fame en 1986. Il reçoit la médaille de Chevalier des Arts et Lettres cette même année et la chanson “Georgia on My Mind” est consacrée hymne officiel de l’État de Géorgie en 1979. Dans les années 1990, Ray Charles recommence à faire parler de lui, notamment pour la publicité pour Pepsi-Cola : “You Get The right One Baby”. Et quitte définitivement les petits piano bars pour revenir à la grande scène. Et avec dernier album “Genius Loves Company”, de 2004, composé de duos (en autre avec Norah Jones, Elton John, B. B. King, Johnny Mathis et Natalie Cole).
Il meurt à 73 ans d’une maladie du foie, le 10 juin 2004 dans sa maison de Beverly Hills, accompagné de sa famille. Il donnera 1 million de dollars à chacun de ses enfants, et repose au cimetière d’Inglewood en Californie.
Le 10 juin, à partir de 22 heures, soit une heure après l’annonce de sa disparition, France Info lui rend hommage en diffusant toute la nuit ses chansons, jusqu’à six heures le lendemain. De même, la radio TSF, station de jazz, lui consacra une journée entière.
Le lendemain, les titres de la presse nationale française rendirent également hommage au Genius, Libération titrant « No more Ray », Le Monde « Ray Charles, la mort du Genius ». À noter que ce fut la première fois depuis sa création que le journal Le Monde mit en une de son journal la mort d’une personnalité autre que politique. Ailleurs, la mort de Ray Charles fut quelque peu éclipsée, notamment aux États-Unis, car elle fut annoncée la veille des funérailles nationales du président Ronald Reagan. Ainsi, par respect envers le 40e président des États-Unis, il n’y eut aucune réaction officielle le lendemain de sa mort. Ce n’est que le jour de son enterrement, le 18 juin, que George W. Bush rendit hommage à l’un des plus grands artistes américains.
Nombre d’artistes ont salué sa mort. On peut citer des personnalités de la musique comme Willie Nelson, Quincy Jones, James Brown, Michael Jackson, Aretha Franklin, Neil Young, Norah Jones, Elton John, Stevie Wonder ou encore les Rolling Stones, ayant repris la chanson “Night Time Is The Right Time” durant toute leur tournée européenne 2006 : A Bigger Bang.
Marié deux fois, il a eu douze enfants : Ray Jr, David, Robert (avec sa femme), Charles (avec Margie Hendricks), Alexandria, Reatha, Robyn, Evelyn, Raenee, Sheila, Vincent et Corey.
Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.
Dee Dee Bridgewater
Denise Eileen Garrett, née à Memphis (Tennessee) le 27 mai 1950, grandit dans le Michigan. Son père, Matthew Garret, est un trompettiste de jazz et lui communique sa passion pour la musique. A 16 ans elle chante dans un groupe de rock et rhythm and blues. Elle suit des études à l’université du Michigan puis à l’Université de l’Illinois.
Elle y rencontre le trompettiste Cecil Bridgewater qui, après une tournée en Union Soviétique en 1969, la met en contact avec le milieu du jazz New-Yorkais. Dans les années qui suivent, elle épouse Cecil et intègre en tant que chanteuse le Thad Jones-Mel Lewis Jazz Orchestra.
Elle travaillera avec les plus grands - Roy Haynes, Sonny Rollins, Dexter Gordon, Dizzy Gillespie, Cecil McBee, Billy Harper, Reggie Workman, Roland Kirk, Jeanne Lee, Heiner Stadler - avant de sortir son premier album en 1974.
Elle chante alors dans des comédies musicales. “The Wizz” à Broadway en 1974. Puis elle reçoit le prix de la meilleure actrice du Tony Award pour le rôle de la bonne sorcière dans la comédie musicale “Glinda the good witch”.
En France, elle a déjà été remarquée par les jazzophiles au festival de Châteauvallon en 1973 lors d’un concert de l’orchestre de Thad Jones. On la retrouve ensuite à Paris dans la comédie musicale “Sophisticated ladies” en 1984. Elle s’installe à Paris en 1986. La même année, on la voit jouer le rôle de Billie Holiday dans la comédie musicale “Lady Day”.
A la fin des années 80 elle revient vers le jazz. Elle interprète un duo remarqué avec Ray Charles (Precious things). Elle donne un concert au festival de jazz de Montreux et interprète Carmen (version jazz) au festival Jazz à Vienne en 1993. Elle remporte le Grammy Award du meilleur album de jazz pour “Dear Ella” en 1998 au travers duquel elle rend hommage à Ella Fitzgerald.
Dee Dee Bridgewater est membre du Haut Conseil de la Francophonie (la première américaine dans ce cas). Elle est également chevalier de l’Ordre national du Mérite, et officier des Arts et des Lettres. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.
Références - Sources
[*]Moldu (Muggle en anglais) est une personne dépourvue de pouvoir magique
Conclusion
Aucune !
Le billet est terminé.
Le choix était déjà fait.
Maintenant, il faut le publier.
Maintenant, il faut couper la boucle.
Maintenant, il faut passer à la piste suivante.
Maintenant, il faut choisir, agir, s’y tenir…
Juste une épreuve de plus à surmonter pour ! … ?
Vouvoiement ?
Connerie !!!
Je te prie de me pardonner…
D’essayer.
⚠️ Attention, à vous ! 👀
MERCI
COURAGE !
À TOUS !
ET, N’OUBLIEZ PAS, N’OUBLIEZ JAMAIS…
Je Veux la Paix Dans le Monde Pour les Hommes de Bonne Volonté !
À suivre sur @CyberMindFR…
- D’autres billets suivront à propos des “jeux de l’esprit, de la philosophie et de la spiritualité et de leurs enjeux” (les “KragZouÿs” 🧠 + 🧩 = 🧙 -> 🔥 (ÉPISODES 003 - M@DZ GE3X))
- …
⚠️ Attention, cette page risque d’être mise à jour régulièrement ! 👀
🧙 – Gandalf (from “The Conjurers”) ©️ 1982-2022